Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Culturopoing.com
par Alexandre Lebrac
Politique, poétique et profondément cinématographique, Toutes les couleurs du monde oppose au regard inquisiteur d’une société celui d’un photographe – double évident du metteur en scène – sondant le réel sans jugement, afin d’offrir au monde une véritable ode à l’amour de soi… et des autres.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Cadres posés, composés et serrés, la réalisation du nigérian Babatunde Apalowo complice, exigeante et pertinente est le point fort cette histoire de déni de soi. Belle découverte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un long métrage courageux sur l’homosexualité au Nigeria, avec des accents de romanesque qui donnent au film une tonalité sirkienne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Cl. F.
(...) Seuls ces trois visages apparaissent à l’écran, comme si le réalisateur cherchait uniquement dans leurs regards toutes les nuances d’un désir libre. Les autres restent hors champ ou figurent des anonymes, dans une ville plutôt hostile
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par La rédaction
Si le recours à la suggestion fonctionne par moments – une séance photo représentée comme une scène d’amour –, le film pâtit le reste du temps d’une réalisation monotone.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
AlloCiné
Culturopoing.com
Politique, poétique et profondément cinématographique, Toutes les couleurs du monde oppose au regard inquisiteur d’une société celui d’un photographe – double évident du metteur en scène – sondant le réel sans jugement, afin d’offrir au monde une véritable ode à l’amour de soi… et des autres.
L'Obs
Cadres posés, composés et serrés, la réalisation du nigérian Babatunde Apalowo complice, exigeante et pertinente est le point fort cette histoire de déni de soi. Belle découverte.
aVoir-aLire.com
Un long métrage courageux sur l’homosexualité au Nigeria, avec des accents de romanesque qui donnent au film une tonalité sirkienne.
Le Monde
(...) Seuls ces trois visages apparaissent à l’écran, comme si le réalisateur cherchait uniquement dans leurs regards toutes les nuances d’un désir libre. Les autres restent hors champ ou figurent des anonymes, dans une ville plutôt hostile
Télérama
Si le recours à la suggestion fonctionne par moments – une séance photo représentée comme une scène d’amour –, le film pâtit le reste du temps d’une réalisation monotone.